L’or noir du XXIe siècle, ce sont les données. Les compétences en la matière se développent et se précisent. Le “data quality management” consiste à pré traiter les données brutes pour assurer leur cohérence. Les “data analytics” en extraient les informations souhaitées pour permettre de développer de la “business intelligence” et du “big data”. Désormais émerge la “data science” qui repose sur des bases de données enrichies, gérées et performantes. Le “Data analyst” étudie a posteriori les données, en utilisant des modèles statistiques existants. Le “Data scientist” applique une démarche scientifique sur la base de concepts et de savoirs purement mathématiques pour démontrer et développer des modèles prédictifs. En élaborant des algorithmes, il émet des hypothèses et les vérifie. D’après le Cabinet de conseil Baalbek Management, la data science a beaucoup à apporter en termes d’amélioration de l’efficacité énergétique des bâtiments . Elle peut également faciliter la transition énergétique en optimisant par exemple le réglage des panneaux photovoltaïques ou l’orientation des éoliennes . La data science permet également de contrôler et d’anticiper les dysfonctionnements et de faire de la maintenance prédictive.